Atelier design au CDI
Le projet d'aménagement du CDI encadré et finalisé par le designer Gaëtan Mazaloubeaud est prêt à être mis en place et il correspond parfaitement aux attentes de...
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Les élèves de seconde Communication visuelle et leur enseignante Mme Emch s’intègrent au projet de l’artiste François Dehoux invité à la résidence d’artistes La Diode 190 Bd Gustave Flaubert à Clermont-Ferrand. Ce projet ambitieux réunit des intervenants variés et s’intègre dans un environnement local.
« Le projet : Pensée pour être installée en extérieur à la façon d’une sentinelle, la garde du ciel invite à porter le regard sur les interactions fondamentales qui constituent l’alchimie du vivant, en prêtant une attention particulière au cycle parfois invisible de l’eau.
En écho avec la prise en compte des enjeux environnementaux et des fonctionnements par écosystème, le projet adopte une approche artistique co-construite et collaborative.
Réflexions, savoir-faire, matières et personnes prennent ainsi directement part aux multiples étapes de la création. Ces différents acteurs se rencontrent au cœur de l’œuvre pour formuler un dispositif hybride, à la fois sensible et fonctionnel, qui va intégrer, entre architecture et sculpture, un système de collecte et de mesure de l’eau en présence.
L’atelier / Touché des yeux
L’atelier invite les étudiants à se joindre à la démarche de co-création qui anime la garde du ciel, en proposant une recherche articulée entre arts appliqués et arts visuels.
Dans cette phase particulière, il s’agit de participer directement à l’écosystème de l’oeuvre en réalisant un ensemble de plaques de terre cuite. Créées en lien étroit avec la thématique générale du projet, elles seront ensuite positionnées sur le dispositif pour en protéger certaines parties face aux conditions extérieures.
A partir d’une observation de terrain accompagnée de matériel photographique, il sera question de porter un regard de proximité, attentif aux interactions écologiques entre paysage, histoire humaine et eau.
Dans un deuxième temps, les prises de vue réalisées seront ensuite interprétées et retranscrites, en privilégiant leurs aspects les plus symboliques et sensibles au moyen de différentes techniques graphiques.
Ainsi « filtrées », les images seront ensuite reproduites sur les plaques de terre crue grâce à une technique de transfert avant d’être fixées par la cuisson. »
